Priorité à l'emploi pour le nouveau préfet de l'Ardèche

Alors que le chômage a encore augmenté en 2020 par rapport à 2019 en Ardèche, Thierry Devimeux, le nouveau préfet de l'Ardèche qui vient de prendre ses fonctions le 25 janvier, place l'emploi parmi ses toutes premières priorités avec la santé.  

"Pas moins de 2 400 personnes se sont retrouvées au chômage en un an dans la Drôme et en Ardèche, soit une augmentation de 6% entre 2019 et 2020. Des chiffres conséquents, en partie liés à la crise sanitaire et à ses confinements successifs (…)  Au total, il y a actuellement 18 590 chômeurs en Ardèche (contre 17 540 fin 2019)"

Concernant l'emploi, Thierry Devimeux veut accompagner l'économie afin d'éviter que l'impact de la crise sanitaire n'entraîne une catastrophe économique et veut, par conséquent, un volet ardéchois dans le plan de relance. 

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Le collectif "Pour notre vallée, la Bourges" se réjouit du volontarisme affiché par le nouveau préfet de l'Ardèche pour la question économique et ne peut que l'encourager à étudier de près la manne économique que représente, localement et au niveau de l'Ardèche, le chantier du site Notre Dame des Neiges à Saint-Pierre de Colombier.

Thierry Devimeux a notamment autorisé l'ouverture de 6 restaurants en Ardèche afin de permettre aux ouvriers du bâtiment exclusivement de pouvoir y déjeuner.

Les artisans et entrepreneurs locaux qui demandent la reprise au plus vite du chantier à Saint Pierre de Colombier ont récemment évoqué, sous l'impulsion d'un des leurs également conseiller municipal, la possibilité d'y ouvrir un bar-restaurant  pour permettre aux  entreprises qui seront engagés pendant 5 ou 6 ans sur le chantier de s'y restaurer (voir ici).

(...) la somme du projet qui devait faire vivre les entreprises du BTP locales, notamment, allait dans son élan redynamiser singulièrement le tissu commercial, locatif, associatif et social de la vallée.

L’idée d’un bar restaurant dans le village ne pouvait qu’émerger ! En effet une moyenne de 30 salariés, qui devaient intervenir pendant 4 ou 5 ans, était la garantie d’un apport de vie pour le lien social que peut être un Bar Restaurant

Il est regrettable et très dommage que les 17 millions d’euros dans un premier temps qui devaient alimenter l’économie locale soient bloqués par un système d’opposants pas forcément du même rayon local !

Le projet allait redynamiser singulièrement le tissu commercial, locatif, associatif et social de la vallée (...) L’idée d’un bar restaurant dans le village ne pouvait qu’émerger !

Il serait judicieux que le monde des décideurs puisse intervenir pour calmer les tensions, rétablir les vérités, et permettre aux entreprises locales et régionales de travailler sur un projet validé par l’administration, tout en évitant insultes, menaces et manœuvres plus ou moins légales des opposants à ce projet.