Des militants écoterroristes saccagent une usine : la nouvelle présidente d'EELV ne condamne pas !

Cet acte d'écoterrorisme s'est déroulé ce week-end à Marseille :

La furie destructrice de groupuscules de l’ultragauche et de l’écologie radicale vient de franchir un nouveau cap. Rêvant d’un Grand Soir repeint en vert, ces «radicalisés» d’un genre particulier ont perpétré samedi un raid d’une ampleur inégalée, de type commando armé, contre le site d’une cimenterie Lafarge à Bouc-Bel-Air (Bouches-du-Rhône).

Faisant preuve d’une tactique de sabotage éprouvée, plus d’une centaine d’activistes ont forcé les barrières de l’usine. Très organisés, ils ont détruit avec méthode les tableaux électriques, fait voler en éclats la vidéosurveillance et les vitres de bureaux à la masse, incendié des engins de chantier et tranché des câbles à coups de hache. Les casseurs, masqués et revêtus de combinaisons blanches pour former ce que les experts nomment les «white blocs», se sont filmés pour faire le buzz et torpiller le cimentier réduit à l’état de «pollueur». 

Une enquête a été ouverte pour association de malfaiteurs.

Contrairement à ce que disent ces militants écolos proches d'EELV, cette usine fait travailler et vivre 115 employés et leur famille dans les Bouches-du-Rhône et représente 586 Millions € de chiffre d'affaire annuel imposable en France et 6 millions d'euros investis sur le site en 2022 pour produire du ciment "bas et très bas carbone".

Condamnée par le gouvernement et par la majorité de la classe politique, cette action a recueillie la bienveillance de Marie Tondelier, nouvellement élue à la tête d'EELV. Interrogée sur les chaînes de radio, elle a refusé de condamner cette action et a même exprimé de la compréhension pour ces militants écoterroristes.